Déjà célèbre au-delà des frontières de son pays, le compositeur Jean Sibelius ne publia aucune composition nouvelle dans les années qui suivirent immédiatement l’indépendance finlandaise. La dernière plage de son parcours musical s’ouvrit en 1923 lorsque le maestro composa chez lui à la Villa Ainola sa Symphonie n° 6, suivie en 1924 par la Symphonie n° 7. Force est d’admettre toutefois qu’on voyait désormais Sibelius plus souvent avec son éternel cigare à la bouche qu’avec un stylo à encre entre ses doigts. Son activité créatrice entra progressivement dans une phase de déclin vers la fin des années 20, si bien que son énigmatique Symphonie n° 8 ne vit jamais le jour.
Déjà célèbre au-delà des frontières de son pays, le compositeur Jean Sibelius ne publia aucune composition nouvelle dans les années qui suivirent immédiatement l’indépendance finlandaise. La dernière plage de son parcours musical s’ouvrit en 1923 lorsque le maestro composa chez lui à la Villa Ainola sa Symphonie n° 6, suivie en 1924 par la Symphonie n° 7. Force est d’admettre toutefois qu’on voyait désormais Sibelius plus souvent avec son éternel cigare à la bouche qu’avec un stylo à encre entre ses doigts. Son activité créatrice entra progressivement dans une phase de déclin vers la fin des années 20, si bien que son énigmatique Symphonie n° 8 ne vit jamais le jour.